J’ai retravaillé l’ensemble des cartes collectives de la méthode (Vous pouvez retrouver les originales en cliquant ici).

Voici la liste des principales modifications :

– j’ai essayé d’utiliser systématiquement des images en haute définition,
– la plupart du temps, je n’ai pas utilisé les images des livres étudiés mais des versions « génériques » des personnages. Par exemple, la « poule rousse » que j’ai choisie n’est pas issue d’une version de cette œuvre mais est une poule rousse lambda. Cela me laisse plus de latitude dans le choix d’illustrations de qualité, 
– parfois, les images sont réalistes (un vrai cochon), parfois les images sont des illustrations « cartoons« . Cela permet éventuellement de travailler avec les élèves les différents types d’illustrations, 
– je n’ai pas conservé la double écriture cursive/scripte. Je considère que cette façon de doubler les mots alourdit inutilement les affichages. Les cartes collectives ne me semblent pas être un support pertinent pour travailler la correspondance entre les différentes écritures. Elles sont des documents préparés à l’ordinateur et doivent donc présenter l’écriture de l’ordinateur : la scripte, 
– pour chaque séance des différents modules, j’ai choisi une couleur unique, déployée en plusieurs tons pour différencier les différents moments de l’étude (les personnages, les lieux, puis les objets…). Cela permet un rangement facilité. Je conseille d’écrire au verso le nombre de cartes pour être sûr de n’en perdre aucune (exemple : sur le verso des cartes de la séquence « Ouaf, le chien », écrire 2/5 derrière la carte du cheval, pour se rappeler qu’il y a 5 cartes dans cette séquence et que la carte du cheval est la deuxième)…